INDENNITA’ DI MOBILITA’ (L’INDEMNITE DE MOBILITE)

Mis à jour de 1er Janvier 2005

 

L’indemnité de mobilité est une prestation qui revient aux travailleurs qui ont été reliés à la mobilité de leur entreprise à la suite de :

- épuisement de la caisse d’intégration extraordinaire ;

- licenciement pour réduire le personnel ou transformation d’activité ou de travail ;

- licenciement pour fermeture de l’activité de l’entreprise

 

CONDITIONS

Le travailleur en a le droit  à condition que :

- il soit inscrit sur la liste de mobilité remplie par les centres pour l’emploi,

- il ait  au moins une ancienneté dans l’entreprise de 12 mois

- il puisse faire valoir au moins 6 mois de travail effectif, y compris congés, fêtes, accidents du travail.

La durée varie en relation à l’âge du travailleur au moment du licenciement et à où l’entreprise est située.

 

 

Age des travailleurs                Entreprises du centre nord                 Entreprises du sud

jusqu’à 39 ans                            12 mois                                                           24 mois

de 40 à 49 ans                            24 mois                                                           36 mois

de 50 ans                                   36 mois                                                           48 mois

 

 

Généralement l’indemnité ne peut pas être payée pour une période supérieure à l’ancienneté du travailleur dans l’entreprise.

En présence de conditions particulières d’âge et de contribution, elle est payée jusqu’à l’acquisition du droit de retraite.

 

DEMANDE ET TEMPS

La demande d’indemnité  doit être adressée à l’INPS  et présentée à la section du territoire pour l’emploi, dans 68 jours du licenciement.

L’indemnité de mobilité va partir de :

- 8ème jour du licenciement si la demande a été présentée dans les premiers 7 jours.

- 5ème jour successif à la présentation de la demande pour les autres cas.

 

LE MONTANT

Pour les premiers 12 mois = 100% du traitement de la caisse  d’intégration extraordinaire perçu ou qui serait revenu dans la période immédiatement avant le licenciement dans des limites d’un montant maximum par mois.

Pour les périodes successives = 80% du montant susdit.

En tout cas, l’indemnité de mobilité ne peut pas dépasser un montant maximum mensuel établi d’année en année, montant qui, à partir du 1er Janvier 2004 est de 806,78 € bruts mensuels (net 762,08 €), élevé à 969,66 € bruts mensuels (net 915,94 €) pour les travailleurs qui puissent faire valoir une rétribution brute mensuelle supérieure à  1.745,40 €.

L’indemnité est payée chaque  mois de l’INPS directement aux travailleurs, et elle est suspendue quand l’intéressé est embauché  par  un contrat à temps déterminé  ou temps partiel.

Le traitement cesse quand l’intéressé :

- est enlevé de la liste de mobilité,

- est embauché par  un contrat à temps indéterminé,

- arrive au droit de retraite de vieillesse ou il devient titulaire de retraite d’ancienneté ou anticipée ou retraite d’incapacité ou chèque d’invalidité, sans avoir opté pour l’indemnité de mobilité.

 

LE RECOURS

Dans le cas où la demande soit repoussée l’intéressé peut présenter son recours sur papier libre, au Comité provincial de l’INPS  dans 90 jours de la date de réception de la lettre avec laquelle on lui communique le refus.

Le recours adressé au comité provincial peut être :

- présenté aux guichets du siège de l’INPS  qui a refusé la demande,

- envoyé au siège de l’INPS par la poste, comme recommandée avec accusé de réception,

- présenté à travers un des organismes de patronage reconnus par la loi.Tous les documents jugés utiles doivent être joints au recours.


(traduzione basata su materiale sintetico tratto dal sito Internet dell’ INPS)